Faillite morale

De l'admiration au dégoût

Il était une fois, les États-Unis étaient la terre de la promesse, de la bravade et de Bruce Springsteen. Un endroit que nous, Européens, avons regardé avec admiration: le pays où la technologie a prospéré, où la liberté a été célébrée et où Hollywood a coloré notre imagination collective. Mais ce qui reste est une ombre de cette nation: Une société moralement en faillite, lourdement armée et animée par la peur, le narcissisme et un sens toxique de l'exceptionnalisme.

«Ce qui évoquait autrefois l’admiration évoque désormais l’horreur et la pitié.»

Un état défaillant dans l'emballage de concepteur

L'infrastructure est en train de craquer, les soins de santé sont une loterie, l'éducation est un produit de luxe. La démocratie est devenue un spectacle où les millionnaires et les clowns des médias distribuent les draps. Et puis il y a les armes – des millions d’entre elles – qui ont repris le domaine public en tant que maisons sacrées de la liberté.

«Les États-Unis ne sont plus un pays guide, mais une brillante république bananière dorée.»

L'agenda caché derrière l'incompétence américaine

L'incompétence apparente du cabinet américain soulève des questions troublantes sur les véritables intentions derrière leurs politiques. S'agit-il d'une stratégie délibérée de destruction des structures existantes par la force brute, en vue d'une reconstruction future de sa propre conception? Ou ces positions de pouvoir ont-elles simplement été achetées par des amis riches, subordonnant leurs compétences et leur expérience à l'influence financière et à la flatterie? Une autre possibilité est qu'il s'agit purement d'une destruction de l'intérieur, d'un affaiblissement conscient du système sans intention de récupération. Ou s'agit-il simplement d'ecchymoses sans précédent, dans lesquelles des postes sont occupés par des individus non seulement inaptes, mais dont la présence à des postes de direction frise une absurdité dangereuse? Quel que soit le scénario retenu, c’est l’Europe qui en paie le prix, tant au sens littéral en termes économiques qu’au sens figuré en termes de stabilité géopolitique. Les récentes nominations au sein du cabinet américain, telles que la nomination de Pete Hegseth au poste de secrétaire à la Défense malgré les allégations d'abus sexuels et de mauvaise gestion financière, renforcent l'image d'un gouvernement qui met l'incompétence et le copinage au-dessus des capacités.

«Lorsque l’incompétence règne, c’est le monde qui porte le fardeau.»

Auto-réflexion pour les partisans de Trump: Il est temps de se regarder dans le miroir

Quiconque a déjà parlé positivement de Donald Trump et de son entourage devrait sérieusement se demander: Quelles ont été les raisons de ce soutien? Il est essentiel d'évaluer de manière critique son propre jugement, en particulier à la lumière de l'élaboration de politiques destructrices et incompétentes qui vient à la lumière. Les récentes révélations sur le cabinet américain, telles que la nomination de Pete Hegseth au poste de secrétaire à la Défense malgré de graves accusations, soulignent la nécessité de cette introspection.

« Quiconque détourne le regard de la vérité est complice d’un mensonge. »

Mauvais leaders ou clowns?

Des révélations récentes montrent que les dirigeants actuels aux États-Unis ont peu de respect pour l'Europe. Des messages fuités d’un groupe fermé de Signal, dans lequel de hauts responsables discutaient d’opérations militaires, dépeignaient l’Europe comme un «client faible et dépendant». Le vice-président JD Vance a exprimé son aversion à l’idée de devoir «sauver à nouveau l’Europe», tandis que le ministre de la défense Pete Hegseth a qualifié les pays européens de «pathétiques».

« Le masque est terminé : les États-Unis ne considèrent plus l’Europe comme un allié, mais comme une monnaie d’échange.»

Le silence européen: Signe de soumission

Malgré ces révélations humiliantes, elle reste assourdissante et silencieuse vis-à-vis des dirigeants politiques européens. Pas d'indignation de masse, pas de désapprobation claire de l'attitude américaine. Les vrais amis et alliés s'affrontent lorsque les frontières sont franchies. Le fait que nos dirigeants n'osent pas le faire prouve que les États-Unis ne sont pas un allié, mais un dirigeant auquel on s'incline par peur ou par dépendance.

« Celui qui garde le silence face à l’humiliation accepte ses chaînes. »

L'heure de l'indépendance européenne

Notre dépendance étouffante à l'égard des États-Unis n'est plus viable. Il est crucial que nous nous détachions de cette mainmise et que nous nous efforcions d'atteindre l'autonomie stratégique. L'ordre mondial actuel est en train de s'effondrer, ce qui donne à l'Europe la possibilité de choisir sa propre voie, libre de la domination américaine.

«La liberté commence là où la dépendance prend fin.»

Résistance personnelle: Petits actes, grande déclaration

Ma femme et moi sommes arrivés à la même conclusion, indépendamment l'un de l'autre: Nous boycottons les produits américains. Je n'ai pas acheté de Snickers à la gare depuis des mois, malgré mon amour pour ce bar. De plus, j'essaie de convaincre tout le monde d'ignorer les logiciels américains. J'ai récemment blogué sur la municipalité de Hellendoorn, qui est à la recherche d'un chef de projet pour transférer des fichiers vers SharePoint — un autre signe de notre dépendance à l’égard de la technologie américaine.

«Le changement commence par des choix conscients, aussi petits soient-ils.»

Une action est nécessaire: Loin de l'influence américaine

On ne peut plus vaciller. Il est temps d'agir, de rompre clairement avec les États-Unis. Ce n'est qu'en prenant nous-mêmes les rênes que nous pourrons construire un avenir dans lequel l'Europe ne sera plus un jouet des intérêts américains.

«L’avenir appartient à ceux qui agissent aujourd’hui.»

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