Souveraineté numérique? Pas à Hardenberg, apparemment.

La tête dans le sable

Alors que l'Europe est aux prises avec l'indépendance numérique et que de plus en plus de gouvernements repensent leur confiance dans les géants américains de la technologie, Commune de Hardenberg Il est idéal pour une intégration plus poussée avec Microsoft 365. Dans un monde où la souveraineté, la vie privée et le contrôle des données sont centraux, il s'agit d'un choix incroyablement insurmontable.

«Ceux qui dépendent encore aveuglément des services d’informatique en nuage américains ont raté la note de l’histoire.»


Le contexte politique est limpide.

Du Parlement européen aux services de sécurité nationale: La dépendance à l'égard de l'infrastructure américaine est considérée comme un risque stratégique. Ce n'est pas pour rien que des alternatives telles que Nextcloud, Matrix et Proton sont activement promues au sein de l'UE. Hardenberg semble complètement ignorer ce contexte.

«La naïveté politique est une chose, mais la surdité institutionnelle est un autre niveau.»


L'open source? Des alternatives européennes?

La mission publiée par la municipalité ne mentionne pas l'open source, les services d'informatique en nuage européens ou les alternatives respectueuses de la vie privée. Il s'agit d'optimiser les produits Microsoft. C'est comme l'optimisation d'un moteur diesel d'ici 2025 alors que le monde passe à la conduite électrique.

«L’optimisation de la dépendance n’est pas un progrès, elle ralentit en arrière.»


Une occasion manquée pour le leadership

Hardenberg aurait pu opter pour un cours tourné vers l'avenir: autonomie numérique, transparence et gestion souveraine. Au lieu de cela, il opte pour la commodité, la sécurité factice et le verrouillage de Big Tech. Pas de vision, pas de tripes – juste de la routine.

«Ceux qui choisissent le confort en temps de crise sacrifient leur avenir sur l’autel de la convenance.»


Mon appel à Hardenberg

Ville de Hardenberg, si je me trompe: convaincs-moi. Montrez que vous avez délibérément choisi Microsoft après une analyse approfondie des alternatives, des risques et des considérations stratégiques. Mais que se passerait-il si cette analyse n'avait pas eu lieu? Il s'agit d'un échec purement administratif.

«La transformation sans réflexion n’est pas un progrès, c’est une myopie technologique.»

note : le contrat concerné

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